Un monde merveilleux partagé entre forces du mal et forces du bien, héros intrépides et belles princesses, être surnaturels, orphelins ensorcelés, animaux doués de paroles
Autrefois, il n’y avait ni radio, ni télévision, le conte constituait un divertissement, lors des veillées, fêtes ou réunion familiales.
Aussi il existe d’innombrables variantes, tant qu’il n’est écrit, le récit peut se développer et se modifie comme une rumeur.
Savez vous que :
Rien qu’en France, on connaît 30 versions du petit chaperon rouge, il en existe une également en chine, tout comme il existe également une version de Blanche Neige en Algérie, une Cendrillon (les sœurs s’appellent Belinda et Jumaïna) au Pakistan.
Et le Mont chauve des contes allemands de Grimm ressemble a une caverne d’Ali Baba identique à l’Orientale.
Depuis que les conteurs existent, les conteurs existent, les motifs des contes se jouent des frontières comme des anéées.
Siles contes se retrouvent d’un pays à l’autre dans les axes et avec des variantes c’est qu’ils puisent leurs sources (pour la plupart) dans les mythes grecs (du grec (muthos, qui signifie « récit, fable » c'est-à-dire les origines mêmes des civilisations)
Par exemple, la belle et la bête évoque l’histoire de Psyché et Cupidon , issu de la mythologie grecque, enchâssée dans celle de l’âne d’or d’Apulée (auteur latin du 1er siècles après Jésus Christ.
Ainsi les contes puisent ils dans les mythes, qui sont des explications du monde.
A la différence de ceux-ci qui se donnent pour vrais, les contes se présentent d’emblée comme fabuleux